lundi 15 mars 2010

La liberté n'existe pas ?

Effectivement, la liberté absolue n’existe pas.
Notre société est régie par des règles et des lois qui font en sorte qu’on ne peut pas clamer l’absolu. Par exemple, de tuer quelqu’un ou de se promener nu sans pudeur, évidemment, c’est interdit. C’est pour cela que les lois sont là.
Par contre, nous sommes libres de choisir nos actes, c’est-à-dire, que nos gestes dépendent d’une liberté collective. Cette liberté se manifeste donc par le choix. J’ai le choix de tuer quelqu’un ou non, mais quelle en sera la conséquence ?
Quelle est la conséquence des choix que nous faisons ?
On peut aussi parler de liberté quand on entend par là l’autonomie d’une personne. Je suis plus autonome, j’ai une voiture et je ne dépends plus de mes parents pour me déplacer. Je prends l’autobus seul, ma mère me laisse me coucher à l’heure que je veux et je réalise que lorsque je me couche après onze heures, je suis fatiguée quand vient le temps de me lever le matin pour aller à l’école.
Je me responsabilise à l’égard des choix que je fais. Je deviens donc responsable et maître de mon destin.
Je mens parfois, mais rarement, seulement pour me sortir du pétrin. Je suis libre de le faire et j’assume ce mensonge s’il est découvert.
Trois mots suivent de près la liberté : La conscience, l’autonomie et la responsabilité.
Tu es certainement libre de faire tes choix, mais qu’en dira ta conscience. Face à ce qui t’attends, qu’adviendra t-il de tes responsabilités et de ton autonomie. Certes, si tu vas en prison, tu les perdras toutes. Quand on parle d’autonomie, on parle de privilèges. Dirais-tu adieu à tes privilèges ? Fais des bons choix et réfléchis avant d’agir.

lundi 22 février 2010

L'exposition de David Hoffos, Musée des beaux-arts du Canada.

Dans le cadre du cours de muséologie que je suis à l'université en ce moment, j'ai eu l'occasion de visiter le musée des Beaux-arts du Canada en tant que muséologue. J'ai eu la chance d'y visiter, par la même occasion, l'exposition de David Hoffos intitulé Scène d'un rêve casanier. J'ai été agréablement surprise de voir cette exposition qui proposait, par l'intermédiaire de vidéos, de moniteurs télé et de maquettes, des scènes en miniature de la vie. En soi, c'est une exposition relaxante et on en ressort ébahi. Si on considère cette exposition d'un autre oeil, on se demande où nous en sommes en art.

Pour ma part, je trouve épatant de mêler les médias et les arts. La technologie deviendra une partie des plus importantes en art. Cependant, que faire si on manque d'électricité ? Nos oeuvres peintes ou sculptées resteront, mais les vidéos mourront. Et c'est ce qui est dommage pour cette exposition, et toutes celles qui sont à venir d'ailleurs...

On peut remercier l'artiste de ce spectacle épatant, mais il ne s'agit là que d'un art éphémère. Malheureusement pour lui, malgré l'impressionnante armada qui lui sert d'expo, le boum technologique fait en sorte que son art devient, par la même occasion, passablement dépassée. J'aimerais lui lever mon chapeau, mais j'en suis incapable.

lundi 15 février 2010

2e lettre à l'auteur: Récit d'un naufragé

En concluant, l’auteur dit : "...à cela je réponds : que croyez-vous que j’aie fait durant mes dix jours en mer?" Selon vous, est-ce que ce roman est un récit ou une histoire vraie. Qu’est-ce qui est vrai et qu’est-ce qui ne l’est pas?

Justifiez votre réponse avec des exemples tirés du roman (environ 150 mots)

lundi 1 février 2010

1er exercice: Récit d'un naufragé, Gabriel Garcias-Marquez

Dans cette première lettre, répondez à la question suivante : qu'est-ce qui est attrayant de l’histoire que vous lisez en ce moment et qu’est-ce qui ne l’est pas. 250 à 300 mots. Justifiez à l'aide d'exemples tirés du texte.