jeudi 2 avril 2009

Cours sur le clavardage

J'ai appris que la communication langagière est une activité, le plus souvent orale, qui vise à transmettre de l’information ou des énonciations à une personne ou à un groupe de personnes. Il s’agit d’une transmission d’énonciation d’un émetteur à un récepteur. On a vu aussi que l’expressivité du message, à l’oral, est très importante et joue sur la réception de l’information par le récepteur. La qualité d’un message transmis en langue orale dépend de la phonologie et de la prosodie. À l’écrit, il s’agit d’une modification de la ponctuation et du vocabulaire employé qui va déterminer de l’interprétation du message.
Le sujet était aujourd'hui le clavardage. Les questions que nous nous sommes posés étaient: «Croyez-vous que le clavardage puisse nuire à l’acquisition de la langue française chez les jeunes? Qu'est-ce qu'il fait qu’il y a des dangers significatifs pour la langue ? Est-ce qu’il faut sensibiliser les jeunes au français Personnellement, en tant que future enseignante, je crois que oui, mais je pense aussi qu'il y ait moyen de modifier cette pratique de façon à ce qu'à l'école, cela ne se reflète pas. Il y a un certain danger pour la langue, mais je crois que cette méthode est bénéfique pour les étudiants de façon à ce qu'ils puissent l'employer mais dans le but de seulement prendre des notes de cours. En méthodologie, il s'agit d'une parfaite pratique. Il faut alors les sensibiliser à la différence fondamentale entre l'école et le clavardage, de façon à ce qu'ils rentabilisent leurs résultats.
Ainsi, je peux affirmer avoir travaillé la compétence linguistique, car je me suis appliquée lors de mon exposé avec les autres membres de mon équipe. J’ai aussi travaillé la compétence discursive grâce à mon bon débit de voix. J’ai aussi bien traité de mes sujets en travaillant mes compétences communicatives, en ayant un bon ton de voix.
J’ai travaillé la compétence 1, qui est d’agir en tant que professionnelle héritière, critique et interprète d’objet de savoir et de culture, car je m’exprimais sur des sujets sur lesquels que j’avais pris la peine de lire.
J’ai travaillé la compétence 2, qui est de communiquer clairement et correctement dans la langue d’enseignement, à l’oral et à l’écrit, car je me suis appliquée à bien parler la langue lors de l'exercice.
J’ai travaillé la compétence 11, qui est de s’engager dans une démarche individuelle et collective de formation continue, car je me suis présentée au cours et que j’ai donné, au meilleur de moi-même, une participation efficace lors de la partie théorique du cours.
J’ai travaillé la compétence 12, qui est d’agir de façon éthique et responsable, car j’ai donné un respect énorme à mes coéquipiers lors de l’exercice.
Je me donne une note globale de B pour toutes ces raisons précèdentes. J'évaluais Isabelle Rabouin St-Laurent et je lui laisse un B. C'était le premier cours et je suis sûre qu'on peut alors faire mieux et tenter d'éviter les erreurs comme les anglicismes et les «si-rait», qui nous donnent des misères, à cause qu'on vient de parents plus ou moins éduqués.

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